Dans la buée, sur la vitre
Mes doigts traces des élytres
Tes paroles dans la nuit
Allument mes cigarettes
Les bagnoles font du bruit
Tu dis que tu regrettes
Personne, non personne
Ne doit souffrir
Et mes joues piquent ta peau
Comme le sel de l'eau
Demain, demain, faut se lever tôt
Tu cherches dans ton passé
Le futur à effacer.
J'écoute tes souvenirs
Couler sur ton sourire.
Et moi, je donne des ailes
Aux vitres embuées
De tes larmes le sel
Je voudrais n'avoir jamais goûté
A mon oreille ta voix collée
A ton oreille ma voix collée
In the phone box
dimanche 27 janvier 2013
Phone box
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true poetry
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